/image%2F1410483%2F20250320%2Fob_331d9a_image-wadia.png)
Avril 1965 à juin 1965
Avril 1965
[L’auto-éducation par la discipline est nécessaire – la lumière astrale affectée influence les gens – changer le présent système éducatif imparfait, fondé qu’il est sur la compétition – ne jamais faire pression sur les jeunes mais plutôt les encourager quand ils demandent de l’aide, et les guider – il n’y a pas un livre qui ne soit l’ombre de quelque autre livre, très souvent l’image concrète du corps astral de celui-ci – le mental doit devenir un lac paisible où se déversent les images ininterrompues de l’Âkâsha.]
L’individu est négligé par l’État qui se considère comme important. Entre l’État qui prône l’intérêt public et l’État communiste, il n’y a qu’une petite différence, mais celle-ci est vitale. Dans le premier, le pouvoir du vote et de la libre expression des opinions est possible. Cela représente un gain pour soutenir et élever l’idéal de l’Individu. Pour changer et transformer cet individu, l’auto-éducation par la discipline est nécessaire et c’est ici que l’État (qui devient victime de la force du cycle) commence à aller de travers. Éduquer et discipliner le Kâma-Manas, c’est le devoir de l’État envers le citoyen. Malheureusement, il est mal accompli.
Bien sûr, la démocratie actuelle n’est que populocratie et l’Etat (qui vise le Bien public) opère pour l’État et non pour le citoyen. Il se pourrait que le totalitarisme investisse la pauvre Inde. Eduquer l’individu de façon juste et convenable n’est pas mené à bien ; cela nécessiterait une vision théosophique chez les officiels de l’éducation à New-Dehli et ailleurs.
Les conditions économiques et autres dans le pays, et particulièrement les grandes villes comme Bombay, vont de mal en pis. La lumière astrale ne peut manquer d’en être affectée et en conséquence d’influencer les gens. Il va y avoir un accroissement du chômage parmi les jeunes et beaucoup de mécontentement. Vous devrez rester très calme et ferme au milieu de tout cela.
Ce que vous dites à propos de l’éducation qui a subi un changement est vrai, mais toute la philosophie de la vie a considérablement changé depuis les deux guerres – mais que ce changement soit pour le mieux est une autre question. Il est certainement vrai que le présent système d’éducation a ses inconvénients et difficultés ; enfants, parents, aussi bien que maîtres, sont surchargés. C’est non seulement cela mais aussi une mauvaise éducation qui a beaucoup contribué à la confusion de la pensée et aux troubles qui prévalent dans le monde ; nous avons alors grand besoin de changer le présent système éducatif imparfait, fondé qu’il est sur la compétition, l’hyper-spécialisation et le manque de synthèse. De nos jours, on enseigne aux élèves des « sujets » au lieu de leur inculquer une façon de penser par eux-mêmes et de se servir des instruments d’apprentissage du savoir – de telle sorte que bien peu d’élèves diplômés de nos écoles élémentaires et supérieures peuvent être considérés comme vraiment éduqués. Et cela vient du fait que nous ne prenons pas la peine de réfléchir, finalement, au but de l’éducation que H.P.B. a souligné dans
Qui se soucie, dans notre cercle réel – auquel appartiennent Maîtres et Chélas – de l’originalité ? « Ainsi ai-je entendu », c’est là notre programme, notre ligne d’action et aussi notre conduite. Plus vous « plagiez », mieux cela vaut. Ecoutez ces paroles du Mahâtma K.H. : « D’un juste point de vue, si vous voulez le savoir, c’est seulement l’expression des idées originales d’une autre personne, quelque phrase indépendante, une pensée qui, dans sa brève complétude, peut être mise sous la forme d’une sage devise, ou maxime, qui pourrait être, constituée en ce que l’on considère comme plagiat – le fait de piller ‘la propriété cérébrale’ d’une autre personne.
Il n’y a pas un livre qui ne soit l’ombre de quelque autre livre, très souvent l’image concrète du corps astral de celui-ci, dans quelque autre ouvrage sur un sujet identique ou proche. Je suis entièrement d’accord avec le Docteur Cromwell quand il dit que « le vrai talent devient original dans l’acte de s’engager avec les idées des autres ». Bien sûr, souvent ce talent convertit ce qui est sans valeur chez les auteurs antérieurs en ce minerai d’or qui rayonne pour éclairer le monde comme sa propre création particulière. « Ainsi, à partir d’une série de romans italiens extravagants et dénués de force, Shakespeare a tiré les trames et les personnages et la majeure partie des incidents des œuvres dramatiques qui ont porté son nom au pinacle, comme auteur original, supérieur à tout autre dans les annales de la littérature ». Vous voilà fixé.
Dans vos articles pour la revue The Theosophical Movement, gardez cela à l’esprit, pour combiner pensée et aspiration. Le T.M. est destiné à l’étudiant, et il a besoin de matière pour ses dents mentales. Personne n’a jamais grandi avec la douceur et la lumière du bon sentiment. Un peu de celui-ci, pour adoucir les faits froids et durs de la raison et de la pensée, forme une bien belle combinaison chimique ! Et ici, distinguez bien entre mélange mécanique et combinaison chimique ! Essayez de viser la simplicité dans vos écrits théosophiques.
Vous devriez essayer d’améliorer ce que vous écrivez à l’aide d’une étude convenable. Collecter des idées et pensées est une chose, développer un style lumineux, clair, économique en est une autre. Pour acquérir un style, il faut étudier différents styles de bonne qualité. Il vous faudra accorder quelque temps à une lecture convenable – je veux dire une littérature choisie. J’ai souvent pensé que le Spectator d’Addison offrait une base excellente pour former le style dans l’écriture.
Je sais que vous êtes lent à écrire, mais la vitesse n’est pas tout ; en fait, est-elle même souhaitable ? Ce qui est nécessaire, c’est le calme à l’intérieur et un mouvement régulier de la plume à l’extérieur. Avoir des mots concis et sobres, une élégance dans la phrase, et des paragraphes d’un texte bien liés entre eux, tout cela se produit naturellement quand le mental est libre de toute préoccupation mondaine. Pour notre travail, cette condition mentale est nécessaire. Bien entendu, la préparation de l’étude, la collecte de références, etc… viennent en premier et prennent du temps. Mais alors « l’état d’âme béni » doit être évoqué et des conditions paisibles doivent le soutenir jusqu’à ce que nous arrivions au bout de l’écrit ou à un arrêt convenable. A tout cela, vous arriverez.
Vous avez besoin d’un calme intérieur d’où puissent naître de réelles pensées et la grâce de l’élégance. Nous ne cherchons pas à atteindre un calme par à-coups, à un moment ou à un autre, comme il arrive aux poètes intuitifs lorsqu’ils donnent libre cours à leurs vers et à leurs chants. Nous essayons de trouver une condition permettant l’Inspiration qui vient de l’intérieur, parce que le corps s’est trouvé « agité » par la sensibilité et en elle, et que le mental est devenu un lac paisible où se déversent les images ininterrompues de l’Âkâsha.
_____________________
Mai 1965
[Une nouvelle relation équilibrée doit être établie entre l’intérieur et l’extérieur – regardez en vous-même, car là vous êtes fort et plein de ressources – étude régulière, pratique, méditation et examen de conscience – épanouissez l’Unité dans votre cœur – se saisir de
C’est l’un des tests que chacun de nous doit traverser pour nous assurer que le monde ne nous envahit pas trop. Dans un premier temps, une nouvelle relation équilibrée doit être établie entre l’intérieur et l’extérieur, de façon que l’extérieur puisse finalement devenir un reflet de l’intérieur.
Regardez en vous-même, car là vous êtes fort et plein de ressources. Mais vous pourriez oublier cet aspect, car la mémoire joue des tours. Souvenez-vous du « Tu es cela ». Et, pour garder ce souvenir, il y a le « Tu ne laisseras pas tes sens faire de ton mental un champ de plaisir » (Voix, p. 68).
Ce qu’il vous faut actuellement, c’est une étude ferme et régulière, et une pratique de
Je sais que vous serez inquiet ces jours-ci ; cela aussi passera. C’est nous-mêmes, chacun de nous, qui devrions nous stabiliser – adopter une ferme position en vue du but visé. Ayez une vie intérieure en vous aidant de l’étude, du travail pour les autres, et épanouissez l’Unité dans votre cœur. L’Esprit Uni de Vie qui EST devrait être reconnu, réalisé. C’est là ce qui est appelé Mettâ[1] – Pitié et Compassion Divines, Impersonnelles.
Vous devriez chercher à trouver l’archétype correspondant à chaque action-type et, de la sorte, vous saisir de
Quelles sont les méthodes nous permettant de faire nôtre l’art du sacrifice ? Tout dépend ici du sens où le mot « sacrifice » est employé. Si c’est avec la compréhension ordinaire de « se sacrifier pour le bien des autres », il se place dans la sphère morale de l’action, dans le cadre de la vie journalière. Mais si le mot sacrifice est pris au sens de yajña, il doit alors s’appliquer à chacune de nos actions, à chaque acte que nous accomplissons. Aussi banal qu’il puisse être, cet acte peut prendre un aspect sacramentel, ou sacré, grâce à une connaissance convenable qui est à notre portée. La connaissance spirituelle peut servir à rendre tout acte saint et sacré, si bien que s’estompe la distinction que l’ont peut faire entre le profane et le sacré, toute action courante pouvant alors prendre un tour sacramentel.
En ce qui concerne le disciple en probation, tenons-nous en au principe suivant : quel que soit son tempérament (psychique inférieur, ou spirituel supérieur) il doit faire face à ses épreuves et tests, et tenir bon ou échouer. Judge et Damodar ont réussi là où tant d’autres ont échoué. Personne, non personne ne peut échapper à la « probation ».
La force Egoïque intérieure afflue, solide et puissante, si nous étudions avec régularité et attention. Vous-même gagnerez cette force, et l’équilibre qui en résulte, dans le cours du temps. Ne vous laissez pas abattre. Soyez courageux et persévérant.
Comment allez-vous ? Je ne veux pas dire dans votre corps ; car, à son sujet, je suis informé. Comment vous sentez-vous à l’intérieur ? Une très, très grande portion de votre maladie a ses racines dans votre Kâma-Manas et là, aucun docteur, aucun Maître, ne peut rien faire, si ce n’est de vous donner des conseils et faire des suggestions. Vous seul devez faire le nécessaire. Pourquoi ne pas profiter de votre incapacité physique pour travailler sur votre attitude mentale et votre vision des choses – et en vous en servant ? Hâtez-vous d’aller bien – mais bien totalement.
C’est une bien heureuse nouvelle que vous ayez regagné votre ville, avec une grande envie d’y participer au Travail. Il vous faut cependant suivre les changements qui s’opèrent dans votre état de santé, et à moins de vous sentir tout à fait bien, et assez vigoureux, j’espère que vous n’entreprendrez pas trop de choses. Notre dévotion envers le travail devrait nous permettre d’avoir du discernement et de nous amener à reconnaître notre devoir envers notre corps physique, et sa santé, sans quoi on ne saurait rendre un service convenable sur ce plan. Ainsi donc, si, dans votre louable enthousiasme, vous vous sentez plein de zèle pour agir, et faire des choses, j’espère que vous vous contrôlerez, et procèderez avec prudence et de façon réfléchie.
Les courants prâniques sont les courants absorbés par les nâdî et chakra astraux, en provenance de l’Océan de Jîva. Ils circulent dans le corps astral, comme fait le sang dans le corps grossier. Par suite de cette circulation, ces courants absorbent et assimilent nos pensées et sentiments, comme fait le sang pour la nourriture physique. De là résulte le magnétisme animal. Prâna, absorbé de la source de Jîva, est salutaire par nature ; en conjonction avec ce qui domine en nous de pensées, sentiments et états d’âme, le magnétisme animal est produit – c’est par le canal de ce dernier que sortent de nous nos « vies », avec l’empreinte de notre personnalité qui les marque.
____________________
Juin 1965
[Sentir le Maître n’est pas une expérience du domaine de l’émotion ordinaire : c’est un Ressenti Supérieur – nous ne voyons pas mais nous sentons – sans doute un contact sur le plan physique a ses avantages mais il a aussi ses graves dangers – cherchez le Pont, les Maîtres – la vie personnelle doit être transformée, rendue poreuse – c’est dans la routine des événements de chaque heure qu’il faudrait Les sentir – garder un mental tranquille, une attitude délibérée et profiter de la présence du calme que crée l’idéation fixée sur Eux – universalisez votre mental, impersonnalisez votre cœur]
Bien sûr, c’est seulement par H.P.B. que nous est venue la connaissance perdue concernant la présence vivante et l’œuvre compatissante des Maîtres. Mais, en de maintes occasions, des gens comme Judge, Damodar et d’autres, ont écrit d’après leur propre connaissance et expérience, et c’est là une grande aide. Sentir le Maître n’est pas une expérience du domaine de l’émotion ordinaire : c’est un Ressenti Supérieur – nous ne voyons pas mais nous sentons. C’est [tout à la fois] un souvenir et une anticipation. Nous avons connu
Les Maîtres ne devraient pas rester pour vous des abstractions. Ce sont des Hommes Vivants. Une nouvelle étude de notre Pamphlet (N° 13)[2], dans son entier, se révélera utile. Leurs propres lettres font apparaître leur côté humain, et non pas tant leur Divinité, car elle se cache derrière Leur humanité. Sans doute, un contact sur le plan physique a ses avantages mais il a aussi ses graves dangers. « Ne cherche pas ton Guru (…) dans les champs de plaisir des sens [Voix p. 22]. Cette formule a aussi un sens si nous prenons l’autre membre de la paire des opposés : « Ne cherche pas ton Guru dans les champs de douleur des sens », car les Maîtres sont de la substance de
C’est par le canal du Mental Supérieur qu’on peut réaliser les Maîtres. Mais dans ce Mental, sur son plan, nous Les connaissons déjà, pour ainsi dire. C’est là que
On peut s’isoler du monde extérieur dans les périodes d’étude et de méditation, mais notre problème est ici : comment ne pas être affecté par ce monde en écrivant des lettres et en lisant des épreuves [à corriger] et comment faire pour sentir les Maîtres en accomplissant de telles tâches ? Ainsi donc, ce qui est nécessaire, ce n’est pas seulement de la pensée mais de la vie – prâna, si vous voulez bien. La pensée Les amène au mental, mais comment faire entrer la capacité de Les sentir, et de Les garder en mémoire dans notre métier et dans nos récréations ? Comment comprendre et utiliser Leur nature omniprésente ? Nous oublions tout à Leur sujet, Leur existence elle-même, quand nous mangeons, restons assis et accomplissons nos travaux de routine – Vivre
Quant au fait de nous souvenir de l’existence des Maîtres dans les affaires de la vie : il est vrai, effectivement, que nous devons faire du Maître notre unique objet de dévotion. Cela ne peut se réaliser aussi vite que nous le souhaiterions. Tout tient dans la faculté de bien se souvenir. En gardant de plus en plus le Maître dans notre mémoire, parce que nous aspirons à gagner Son Oeil, Son Oreille et Sa Parole ou inspiration directrice, nous devons en venir à reconnaître qu’Il est tout le temps partout, dans toutes nos affaires. Nitya Guru [= Guru perpétuel], Lui qui est notre Guide et Ami, qui communique le Karma et le Dharma, révèle aussi Sa nature omniprésente – c’est là l’idéal et, par notre sincérité, nous avons attiré Sa reconnaissance. Nous ressentons l’inspiration d’une manière croissante – en étendue et en profondeur.
Nous n’avons pas à attendre d’être reconnus de la part des Maîtres, même lorsque nous sommes devenus des êtres de dévotion. Tout ce que je vous conseillerais, c’est de poursuivre, dans le silence et le secret, étude et réflexion. Universalisez votre mental ; impersonnalisez votre cœur. Votre façon de servir – par l’écriture, la correspondance, la conversation, l’entretien de l’amitié (sat-sang)[3] – devrait être maintenue. Cette persistance est triple – selon les guna. Réfléchissez ici au verset de
Les Maîtres enseignent, aident, guident, instruisent, inspirent, bénissent. Ils laissent les chélas libres d’absorber, de recevoir par osmose ce qu’ils peuvent, de la manière qu’ils peuvent ; mais Ils ajustent, ajustent le mental du chéla. Ils n’interfèrent pas avec le Karma du chéla mais l’aident à accomplir son devoir par son propre Karma, et apprendre de cette manière.
En ce qui concerne la façon dont nous recevons des idées des Nîrmânakâya et des Adeptes : nombreux sont les degrés et types de ces Êtres. Il y a ceux qui n’ont pas pleinement fini leur évolution mais sont sur la voie du Grand Renoncement. Les Êtres qui forment le Mur Gardien sont d’un seul type. Certains de ces Grands Êtres, d’après ce qui est dit, sont continuellement à méditer, en rayonnant des Influences qui peuvent être absorbées par quiconque est de même nature. Ils ne les dirigent pas sur telle ou telle personne. De même les Mahâtmas et, parmi eux, nos Maîtres Bénis, émettent des pensées qui viennent toucher n’importe quel membre de la race humaine. Puis, il y a les hommes dans ce monde qui ont accompli un noble travail, comme par exemple Lincoln, Gandhiji, etc… qui reçoivent une aide formulée d’une manière spéciale sous forme d’idées. On peut les comparer aux chélas des Maîtres qui reçoivent une aide spécifique de la part de leurs Guru respectifs. Supposons que vous soyez en train d’écrire un article : vous vous êtes concentré sur un sujet et les courants de votre pensée sont devenus de même substance que ce sur quoi les Nirmânakâya ou les Mahâtmas ont exercé leur idéation ; dès lors vous saisissez l’influence bénéfique qui émane d’eux, mais vous pouvez bien n’en rien savoir ; ou bien, étant un étudiant informé de
Les paroles mantramiques de H.P.B. – « Là où la pensée peut passer, Ils peuvent venir » - ne sont pas seulement profondes ; elles sont vraies. Également, dans le terme « omniprésence » [ou ubiquité], beaucoup de choses se trouvent comme dans un écrin, ou un reliquaire. Pour l’ignorant, c’est comme dans une tombe. Avec les tombes, nous devons créer nos reliquaires. Nous vivons au milieu de la mort ; ce n’est vrai que sur le plan de la matière grossière et du corps. Pour nous, la réalité est que nous ne vivons pas ; nous tenons compagnie aux morts, après avoir connu et touché la VIE.
Les personnalités individualisées sont celles des grands Adeptes qui ont touché la perfection. Les Mahâtmas ont une personnalité mais non pas dans le sens des personnalités que nous avons. Pour nous, il y a une différence entre nos personnalités et nos individualités. Quand une personnalité est purifiée, élevée, et devient un canal et un instrument de l’individualité, alors elle est une personnalité individualisée.
____________________
[1] Mettâ : mot pâli (= bonté toute d’amour) correspondant au sanskrit maitrâ, ou, plus couramment maîtri (avec le même sens). [N.d.T.]
15 Voir Cahier Théosophique n° 85, concernant Maîtres et chélas. [N.d.T.]
[3] Sat-sainga : mot hindi, pour « amitié de qualité » [N.d.T.]